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Aujourd'hui, c'est la journée nationale de réflexion sur le don d'organes et la greffe...
D'après la loi, toute personne adulte est à priori considérée consentante au prélèvement de ses organes et tissus après sa mort si elle n'en a pas manifesté de refus de son vivant.
Dans la réalité, si la personne défunte n'a pas fait part de son choix, en s'inscrivant sur le registre nationale des refus ou en ayant sa carte de donneur, les médecins demandent l'autorisation à la famille.
J'ai ma carte de donneuse d'organes depuis près de 10 ans.
J'ai informé ma famille de mon choix. Ma mère est infirmière et nous avons parlé du don d'organe en famille. Je ne veux pas que ma famille soit confrontée au choix et à la responsabilité de donner ou non mes organes si il m'arrive quoi que ce soit.
Et je ne veux pas que l'on prenne une décision pour moi, je m'appartiens.
Et je prends la décision que ces organes ne me serviront plus là où je serai alors autant rendre un peu d'espoir et de vie aux autres.
www.france-adot.org
Et sinon, le don de sang et de plasma de son vivant sont aussi primordiaux... Je dis ça....
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